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Les réseaux sociaux et la dératisation à Paris

Un billet un peu particulier qui a été inspiré de la constatation d’une augmentation des articles de presse au sujet de la dératisation à Paris. en effet, tous les grands journaux nationaux, mais aussi les journaux régionaux d’autorité font un constat sans appel : la prolifération des nuisibles devient de plus en plus une préoccupation des Parisiens.

Nous nous sommes donc demandés si le rôle des réseaux sociaux dans la diffusion de l’information en quasi-direct avait un impact sur la prise de conscience du problème posé par les insectes et les rongeurs dans la capitale ? Et est-ce que par implication quasi-directe, les professionnels potentiellement exposés aux nuisibles (hôtels, restaurants…) deviendraient plus précautionneux pour éviter ce qu’on appelle un « bad buzz » : à savoir une mauvaise publicité.

Impact des réseaux sociaux et des relais médias parisiens dans la prise de conscience des pros

Ce qui a changé par rapport à il y a 10 ans lorsque les réseaux sociaux étaient moins présents, c’est que l’information peut être diffusée par n’importe qui, et plus simplement par des journalistes. Il suffit qu’une personne attablée dans un restaurant à Paris voie une souris pour qu’elle puisse la prendre en vidéo et la diffuser sur son Facebook, ou pire Twitter ou l’info pourra être relayée et devenir virale.

Or la réputation des établissements de la capitale comme du pays tient également à la confiance que les consommateurs placent dans leur hygiène. Or, à tort ou à raison, si on tombe sur un rat, une souris ou encore des cafards dans un restaurant, on aura naturellement cette impression d’un manque d’hygiène pouvant amené au dégoût.

Plusieurs grandes enseignes ont été filmées en présence de nuisibles : écoutez le dégoût immédiat causé par la présence d’un rongeur dans une vitrine d’une patisserie parisienne :

Ce type de vidéo peut rapidement devenir virale et créer un bad buzz pour l’établissement. Soyons honnêtes, il est très difficile de se dire certains à 100% qu’un tel problème ne puisse arriver, même chez une enseigne qui serait correctement suivie en dératisation.

En effet, une souris peut toujours surgir de l’extérieur venir déguster quelques plats qui ne leur sont pas dédiés à la base ! Paris est une ville, à l’instar de nombreuses grandes villes à travers le monde, dans la quelle les rats et souris se plaisent depuis bien longtemps. Ces rongeurs sont dits « commensaux » : il s’invitent à notre table depuis… très longtemps.

Par contre, nous pouvons affirmer qu’un professionnel bien suivi en prestation 3D sera protégé de manière optimale à ce type de soucis. Tout doit être étudié, et notamment les techniques qu’on appelle de « rat proofing » : l’idée est de bloquer un maximum l’accès aux espaces sensibles aux nuisibles : tout un programme, mais qui est très efficace lorsqu’on s’y intéresse et surtout qu’on en applique les bonnes dispositions.

Quoi qu’il en soit, il suffit de regarder le nombre de vues de cette vidéo pour comprendre les problèmes de réputation que la viralité offerte par les réseaux sociaux peut poser lorsqu’une vidéo ou une photo avec un nuisible dans un restaurant ou fast-food parisien est postée sur Facebook ou Twitter.

A Paris : pas le droit à l’erreur avec les souris, les rats, les cafards…

Ce titre peut sembler un peu trop obtus, mais il faut bien comprendre que Paris héberge des millions de rats et de souris. Savez-vous qu’il y a plus de rongeurs que d’homme à Paname ? Et c’est la même chose depuis les temps de Lutèce… c’est dire !

Et bien c’est une réalité, qu’on le veuille ou non. D’ailleurs, un autre élément est important : le rôle des dératiseurs n’est pas d’exterminer les populations de rongeurs qui jouent plusieurs rôles de régulateurs de déchets parfaitement indispensables dans la capitale Française !

Avec la présence de ces populations de nuisibles, qui cherchent chaque jour leur pitance, les établissements qui stockent ou vendent de la nourriture sont forcément les plus sensibles et se doivent de se prémunir au mieux d’être infestés. Au dela de la mauvaise réputation qui pourrait découler d’un partage de média sur les réseaux, la conscience d’une bonne hygiène se doit d’être présente et prise très au sérieux. De nombreux actes du quotidien permettent de se protéger au mieux, par exemple au niveau de la gestion des dechets dans un restaurants qui ne doivent pas rester à disposition dans le restaurant ou juste devant. Au passage, un sac plastique fermé n’est absolument pas un obstacle pour un rat qui l’ouvrira en une fraction de seconde. Il faut donc une gestion étudiée et intelligente de la disposition des dechets.

Et il en est de même pour plusieurs points comme le stockage de la nourriture pour éviter d’attirer les rongeurs.

Bad-buzz, mauvaise hygiène ou réputation… tout plaide en faveur d’une préoccupation sincère des professionnels vis à vis des nuisibles : être suivi correctement via un contrat en dératisation adapté aux besoins de l’établissement, et puis suivre les recommandations quotidiennes qui changent finalement tout.

PS : savez-vous combien de rats vivent à Paris ? Cliquez sur le lien pour le découvrir !

revue de presse deratisation

Revue de presse et actualités des 3D

Suivez-nous pour ne rien rater des actualités du monde de la dératisation, de la désinsectisation et de la dépigeonnisation. Qu’il s’agisse d’actus, d’innovations, de faits insolites, nous ferons remonter tous les sujets intéressants du monde des 3D.

Infestation de rats et de cafards dans les cuisines du CHU de Nantes

16/05/2017 : L’ensemble des plats destinés aux hôpitaux de la ville sont préparés dans une cuisine centrale qui débite quasiment 10.000 repas quotidiens. Problème révélé par Europe1 : les locaux sont infestés par les rats et les blattes, alors qu’une inspection du mois d’Avril n’avait pas déploré de problème d’infestations de nuisibles. Les 187 salariés s’en plaignent et menacent de grève si la situation sanitaire n’était pas améliorée, supposant que la proximité de la Loire serait un facteur à risque au sujet des rongeurs.
A lire sur Europe 1 : http://bit.ly/2qoq7p3

Les détenus de la prison de Fresnes se plaignent de l’insalubrité des locaux due à la présence de rats et de punaises de lit

04/05/2017 : Selon l’article de MinuteNews, la direction de la prison débourse déja 25.000€ par mois pour lutter contre les nuisibles, rongeurs comme insectes. Force est de constater que les traitements ne suffisent pas, les rats et punaises de lit continuant à se propager, ce qui a poussé le tribunal administratif de Melun à ordonner une intensification des traitements afin de parvenir à des résultats efficaces. La dératisation ou la désinsectisation d’une prison sont forcément particulières à plusieurs titres : la taille conséquente des bâtiments, mais également la restriction de circulation, les problèmes de sécurité voir d’incivilité.
A lire sur : http://bit.ly/2rjHNzA

LeParisien édition du Val de Marne 94 nous annonce une action en dératisation dans la ville de Charenton le Pont

01/05/2017 : La précédente campagne anti-nuisibles n’ayant pas donné les résultats escomptés, la ville de Charenton a décidé de renforcer son action pour en optimiser l’efficacité. Notons que cette campagne, une fois n’est pas coutume, s’est accompagnée de la diffusion d’informations destinées aux habitants afin d’adopter les bons gestes qui permettront de contribuer à l’efficacité des campagnes professionnelles. Cet aspect informatif est bien trop souvent négligé, alors qu’il tient une place prépondérante dans les résultats obtenus sur le terrain : si tout le monde y met du sien, et adopte les bons gestes et les bonnes habitudes, la réussite sera bien plus facilement à la clé. A lire via Twitter sur :

 

Elle termine à l’hôpital suite à l’ingestion d’un sandwich qui était souillé d’une crotte de souris

19/04/2017 : Comme quoi, même si les risques sanitaires liés aux déjections de nuisibles sont souvent assez circonscris, la mésaventure suivante est la preuve qu’il faut rester vigilant, surtout en ce qui concerne les métiers de bouche. Léna, 25 ans décide d’acheter un sandwich au Paul situé dans le centre commercial de Créteil Soleil en région Parisienne. Elle y découvre ce qu’elle prend pour un éclat de chocolat, alors qu’elle achète un sandwich jambon-beurre. Mais durant la nuit, elle est prise de nausées, de vomissement et d’une crise d’eczéma qui pousse son médecin à lui conseiller de se rendre aux urgences pour un diagnostic qui tombe : gastrique clinique. Un audit d’hygiène est demandé ainsi qu’une dératisation et qu’un nettoyage de fond en comble du local de vente. Espérons que la mésaventure ne se reproduise pas, et que les commerçants de bouche seront plus attentifs à la prévention anti-rongeurs pour éviter ce type de souci sanitaire.
A lire sur : http://bit.ly/2qlrbtN

nombre rats

Combien de petits pour un couple de rats par an ?

Un rat femelle peut avoir, chaque année, 55 bébés.

La maturité sexuelle de la femelle arrive très rapidement, vers l’âge de deux mois.
La rate peut avoir cinq portées par an avec une moyenne de 7 ratons par portée.
Sa gestation dure 24 jours.

Combien de bébés rats un couple peut engendrer sur une année ?

L’exercice est théorique, mais un couple de rats, pourrait donner naissance à une descendance de 5.000 individus sur une année !

Si les rats ont une utilité certaine, que ce soit en ville ou dans les zones rurales, il vaut mieux contrôler leur population pour ne pas être dépassé. Mais, il faut savoir que la dératisation n’est pas la seule manière de réguler ces populations : en effet, les rats ont aussi un système d’auto-régulation de leur nombre.

Un couple de rats pourrait théoriquement engendrer 5.000 rats en un an…

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Auto-régulation du nombre de rats par… les rats eux-mêmes !

Les scientifiques et experts en dératisation ont constaté que les groupes de rats régulent aussi leur population en fonction de la quantité de nourriture se trouvant à leur disposition. Si elle venait à manquait, les femelles repousseraient les mâles pour ne pas faire naître de ratons qui n’auraient pas à manger. Au contraire, si les quantités de nourriture venaient à augmenter, elles attireraient les mâles pour avoir plus de petits.

C’est une des raisons pour laquelle une bonne gestion des populations de rats doit prendre en considération la gestion des déchets que les rats pourront consommer. Si ils venaient à être présents en grande quantité et facilement accessibles aux rongeurs, il y a fort à parier que les populations de rats se mettraient à augmenter sérieusement. Reconnaissons aux rats une logique de gestion de leurs populations, à nous d’en faire autant !

Quelques sources d’information complémentaires

Sur le rat d’égout et le rat domestique : http://www.bestioles.ca/rongeurs/rats.html

La reproduction du rat : http://ratlala.free.fr/lerat/brat.html

Nombre de petits durant la vie d’une rate sur Yahoo Answers : https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20100829035620AAnjByJ

 

jardin luxembourg

Combien de rats à Paris ?

C’est une question que tous les habitants des grandes villes, et en particulier Paris, se posent : combien de rats « habitent » dans ma ville ?

Les rats sont partout à Paris

C’est une réalité, vous les retrouverez en grand nombre dans le métro, les caves, les restaurants, les magasins, les hôtels etc. Si il arrive des périodes pendant les quelles les rats peuvent remonter à la surface, c’est souvent suite à un trouble de leur habitat naturel qui peut arriver suite à de grands travaux, à des pluies exceptionnelles… Ne prenant pas toujours les bons réflexes en amont de certains travaux, les administrations se retrouvent souvent dépourvues face à la recrudescence du nombre de rats qui se retrouvent dans la rue, à la recherche de nourriture, d’eau, ou d’un nouvel habitat. La dératisation à Paris comme dans toutes les autres grandes métropoles, doit s’aborder de manière globale, avec une compréhension des habitudes de vie des rats qu’on ne souhaite pas voir gambader dans le jardin du Luxembourg ! Mais venons-en à la question initiale de cette page :

Combien de rats habitent à Paris ?

On a l’habitude, pour déterminer le nombre de rongeurs dans une ville, de proposer un ratio multiplicateur entre le nombre d’habitants de la ville, et le nombre de rats qui sont susceptibles d’y séjourner. Vous l’aurez compris, il s’agit d’une moyenne, et pas d’un recensement exact des populations.

En Mai 2013, un article du journal Le Monde, nous apprenait que l’accroissement des habitants de Paris était assez fort avec une population a crû de 8 % entre 1999 et 2008. Selon l’Insee, qui est l’organisme qui se charge de recenser la population française, le nombre d’habitants serait de 2.229.621 à Paris.

Les experts en lutte anti-nuisibles en milieu urbain parlent d’un ratio de 1.5 à 2 rats par personne en ville, ce qui représenterait un nombre de 5 millions de rats à Paris

Les rats se reproduisent très rapidement et sont matures sexuellement dès 8 semaines de vie. Un couple de rat peut donc très rapidement engendrer une population conséquente en un temps record ! Avec des portées de 5 à 13 rats et environ 5 portées par année, faites les calculs d’une descendance sur 2 ans !

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rat santé humaine

Les rats et notre santé

Est ce que les rats transmettent des maladies à l’homme ?

En effet, la transmission d’agents pathogènes par les rongeurs est un enjeu important. C’est également une des raisons majeures pour lesquelles la prévention en dératisation doit devenir aussi naturelle que la prévention des autres risques (incendie…).

Que ce soit en milieu professionnel, administratif, public ou particulier, cette question mérite une attention toute particulière. Sans tomber dans l’exagération, il faut être conscient que ce problème est bien réel, et qu’il doit donc être traité avec le plus grand sérieux. Tout chef d’entreprise ou responsable d’établissement doit s’en préoccuper parce qu’il est responsable en dernier ressort de la santé physique des personnes présentes sur les lieux dont il a la responsabilité.

Une question fréquente : est ce que ces maladies sont transmises par la morsure du rongeur ?

Tout d’abord, si le rat et courageux et se défend en cas d’agression, il n’attaque pas sans raison. Donc les cas de morsures ne sont pas très fréquents.
De plus, la morsure d’un rat n’est pas plus inquiétante que celle d’un autre animal. Il y a un risque d’infection assez classique, mais pas plus.

La transmission de pathogènes se fait généralement par les déjections des rongeurs, et particulièrement les urines

Quelles sont donc ces risques et maladies transmises par les rats ?

Commençons par une précision : si on parle de « maladies du rats« , il s’agit d’une généralité. Elle englobe en réalité l’ensemble des maladies que les rongeurs en général sont susceptibles de transmettre. Le rat n’est donc pas le seul coupable de ces maladies vectorielles, c’est dit !

La peste

Initialement, c’est la peste qui était la plus redoutée. Après avoir longtemps accusé directement les rats, les scientifiques ont conclu que la peste était transmise « indirectement ». En effet, ce sont les puces du rat qui peuvent transmettre la peste via le bacille yersinia pestis. Cette puce transmet la peste via la salive qu’elle injecte pour aspirer le sang de sa victime. Avant les épidémies dues aux rats que l’humanité à connues, il y avait un grand nombre de rats qui mourraient, suite à des printemps pluvieux qui décimaient leurs populations, et leurs puces n’ayant plus d’hôtes primaires pour se nourrir, elles en cherchaient un secondaire : nous !

Rassurons nous quand même, les cas de peste actuels sont très rares. Les continent Africain est le plus touché suivi par l’Asie. La peste n’est donc plus la maladie la plus rependue par transmission des rats.

En effet, c’est la leptospirose et la salmonellose qui sont devenues les plus fréquentes.

La première n’est pas très fréquente, mais représente un réel danger. La seconde est plus bénigne et plus courante. Par contre certains sujets comme les enfants peuvent y être très sensibles.

La leptospirose

Il s’agit d’une maladie bactérienne qui se contracte par l’urine des rongeurs ou d’autres animaux qui en sont des porteurs sains. L’institut Pasteur nous indique que cette maladie est souvent bénigne, mais qu’elle peut aboutir à une insuffisance rénale, et à la mort dans les cas les plus extrêmes. Cette bactérie se maintient assez bien en milieu extérieur ce qui la rend plus complexe à combattre.

Le diagnostic de la leptospirose n’est pas évident parce que les symptômes ressemblent assez à ceux d’une forte grippe. Son incubation dure 4 à 14 jours, et la maladie commence par des frissons, maux de tête et douleurs articulaires. N’hésitez pas à lire l’article de l’institut Pasteur pour plus de précisions : http://www.pasteur.fr/fr/institut-pasteur/presse/fiches-info/leptospirose

De nos jours, et en occident, c’est la leptospirose qui braque les projecteurs de l’actualité parce que c’est la maladie la plus délicate qui peut être transmise par les rats.

La salmonellose

Cette maladie est responsable de nombreux rappels de produits des industries agroalimentaires qui y sont très sensibles. Elle provoque de la diarrhée, de la fièvre, et des crampes abdominales dans les 12 à 48 heures suivantes l’infection. La majorité des fois les patients s’en tirent sans traitement particulier au bout d’une petite semaine. Mais certains peuvent être sujets à des complications qui nécessiteront leur hospitalisation. Particulièrement les personnes âgées, les femmes enceintes et les enfants. Même si ce n’est pas courant cette maladie peut engager leur pronostic vital, donc sa prévention reste une obligation impériale.

D’autres maladies assez fréquemment transmissibles

  • Les vers :
    Il s’agit de la transmission des parasites intestinaux des rats vers l’homme notamment le vers plat (ténia). Cela peut arriver en consommant de la nourriture souillée par les excréments de rongeurs
  • La teigne :
    Tous les animaux peuvent transmettre cette infection à l’homme mais le rat est l’un des principaux vecteurs. La teigne est un champignon qui se transmet à l’homme lorsqu’il y a contact entre ce dernier et un animal atteint. En cas de contamination, un dermatologue vous fournira un traitement adapté.
  • Les Hantavirus :
    Ces virus sont présents dans la salive, l’urine et les excréments des rongeurs. Certains sont transmissibles à l’homme et la contamination se fait principalement par inhalation du virus. La présence du virus dans le corps entraîne de la fièvre, des frissons, des maux de tête ou encore des douleurs musculaires.

Les maladies rarement transmissibles

  • La toxoplasmose :
    Il s’agit d’une maladie majoritairement transmise par le chat. Sachant que les rats ou souris sont la proie préférée du chat, ils peuvent porter la toxoplasmose s’ils ont été en contact avec ce prédateur.
  • Le typhus marin :
    Ce sont les puces des rats d’égout qui sont les plus porteurs de cette maladie. Très grave, elle peut être mortelle au bout de quelques jours si elle n’est pas rapidement soignée. Ceux qui habitent près d’un cours d’eau ou des bouches d’égout doivent rester vigilants.
  • Le cowpox :
    Il s’agit d’un virus souvent associé aux mammifères, plus précisément la vache. Cependant, les petits rongeurs comme les rats peuvent aussi être contaminés. Les infections à cowpox sont rares chez l’homme mais ne sont pas exceptionnelles.
  • Le Sodoku :
    Essentiellement présent en Asie, le sodoku est une maladie qui se transmet par la morsure de rat et peut-être fatale si elle n’est pas traitée à temps. Cette affection est exceptionnelle en France.

Quelques idées reçues sur les maladies transmissibles à l’homme par les rongeurs

« La leptospirose se transmet par les cannettes (de bière, coca, etc.) et peut être mortelle » : Faux. Cette maladie se transmet par l’urine des rats. Si le rat a uriné sur une cannette, vous pouvez en effet contracter une leptospirose. Par ailleurs, si vous êtes atteint de leptospirose, vous n’allez pas mourir dans l’heure qui suit. Un traitement aux antibiotiques vous en débarrassera très vite.

« Les rats sont responsables de la peste » : Faux, on l’a vu plus haut. C’est ce que l’on a cru pendant des siècles mais en réalité la peste frappait d’abord l’animal et se sont ses puces qui transmettaient la maladie à l’homme.

pain baguette

Le saviez-vous ? Des traces de crottes de rats dans la baguette…

Même si ce n’est pas très appétissant, sachez que nos baguettes de pain font souvent apparaître des traces de crottes de rat sans que cela ne nuise à notre santé. Les rats apprécient en effet nos silos de blé CQFD 🙂

Se prémunir des risques par la prévention en dératisation

Le meilleur moyen d’éviter la transmission de maladies par les rats et les rongeurs en général, est de pratiquer la prévention. Personne ne peut garantir qu’un établissement est « étanche » à l’intrusion d’une souris ou d’un rat. Donc tout le monde est exposé à une éventuelle présence de rongeurs.

La dératisation préventive sert justement à endiguer le problème dès son apparition. En ne laissant pas proliférer les rongeurs, on minimise au maximum les risques de diffusion d’agents pathogènes au sein d’un établissement : entreprise, restaurant, hôtel, école…

Quelques conseils en cas de proximité ou de contact avec ces animaux

Ces précautions valent aussi bien pour des animaux sauvages que domestiques :

  • Ne pas manger lorsqu’on est à leur proximité ou qu’on s’en occupe
  • Si on est une personne « fragile », éviter les contacts rapprochés
  • Si on a touché un rongeur, obligatoirement se laver les mains soigneusement après

En cas de morsure, contactez un médecin pour éviter les éventuelles complications et infections.
En cas de doute, n’hésitez pas à contacter les services médicaux pour prendre conseil, mieux vaut prévenir que guérir.

Comment vérifier la présence de punaises dans une chambre d’hôtel ?

Les punaises de lit sont de très bonnes voyageuses. La démocratisation des billets d’avion et des séjours longue distance sont certainement une des raisons de leur prolifération dans plusieurs pays du monde dont la France.

Les chambres d’hôtel sont des des lieux ou les punaises peuvent s’établir vu qu’elles peuvent y trouver leur nourriture : nous, les hommes !

Sans entrer dans une paranoïa excessive, il est intéressant de savoir comment rapidement vérifier la présence de punaises de lit dans une chambre d’hôtel. La vidéo qui suit vous montre où elles se cachent en général et quels sont les signes qui peuvent trahir leur présence comme :

  • des taches de sang ou taches noires sur les matelas et particulièrement au niveau des bourrelets des coutures
  • une odeur (que les chiens spécialisés détectent bien plus que nous !)
  • etc.

La vidéo est en Anglais, n’hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin de plus amples informations à ce sujet :